Jeudi 23 juin, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) a décidé de mettre sur le marché 60 millions de barils de pétrole issus de ses réserves stratégiques, pendant un mois, soit 2 millions de barils par jour. Le ministre de l’industrie, Eric Besson, et les médias ont interprété cette largesse comme une aubaine destinée à satisfaire l’”énergivoracité” de nos automobilistes à la veille des vacances d’été, en poussant les prix des carburants à la baisse. Lire la suite »
Le 22 mai 2008, le collectif parisien pour la décroissance organisait à la mairie du 2ème arrondissement une rencontre avec Yves Cochet, député et auteur de « Pétrole Apocalypse », sur le thème « Pic de pétrole et décroissance ». Nous vous proposons la vidéo de cette soirée. Lire la suite »
Longtemps les écologistes ont eu raison trop tôt. Aujourd’hui, les faits rattrapent leurs prévisions. Les conditions fondamentales de la vie sur terre sont gravement menacées par les activités humaines. La planète entière est perturbée par les effets d’un productivisme et d’une consommation aveugles. Il nous faut à présent payer pour cette recherche effrénée de confort matériel, menée au détriment de la nature. La catastrophe environnementale est en marche. Lire la suite »
L’ouvrage de Yves Cochet l’anti-manuel de l’écologie apporte des propositions visant à sortir du système automobile et faire face au déclin prévisible de la production de pétrole. Celles-ci doivent s’inscrire dans un programme global de transition vers une société de sobriété. Lire la suite »
LA DECROISSANCE ENTRE A L’ASSEMBLEE NATIONALE nous informe le journal « Casseurs de pub ». En effet, les 9 et 14 octobre 2008, Yves Cochet, député des Verts de Paris, a prononcé à l’Assemblée Nationale deux interventions qui feront date non seulement pour le mouvement de la décroissance mais aussi pour l’ensemble de nos sociétés occidentales. Ces discours sont des éléments essentiels pour comprendre la crise actuelle. Lire la suite »
Yves Cochet • 30 mai, 20082 380 visitesCommentaires fermés
Nous sommes drogués au pétrole, nous ne pouvons pas nous en passer, nous sommes prêts à tout pour continuer notre addiction. Nous, c’est-à-dire le tiers le plus riche des habitants de la planète. Cette situation, à elle seule, aura bientôt des conséquences dévastatrices dans tous les domaines, sur tous les continents. La hausse actuelle du cours des hydrocarbures n’est pas un simple choc pétrolier – comme ceux que nous avons affrontés en 1973 et 1979 – c’est la fin du monde tel que nous le connaissons. Lire la suite »
A ce prix, le pétrole brut n’est pas cher, de même que le litre de super à 1,50 euro. Le cours du baril sur le marché new-yorkais retrouve aujourd’hui la cote qu’il avait atteinte en 1980, tandis que l’achat d’un litre d’essence nécessite deux fois moins d’heures de smic qu’il y a vingt-sept ans. Lire la suite »
Nous vivons la fin du pétrole bon marché. Et les adaptations requises vont sérieusement bouleverser nos modes de vie. Cela ne sera pas un simple choc économique, mais la fin du monde tel que nous le connaissons, car nous devrons organiser la décroissance de la consommation de matières et d’énergie, tout en sauvegardant la solidarité. Lire la suite »
Les fluctuations quotidiennes ou hebdomadaires des cours du baril de brut sur le marché new-yorkais sont dues à une multitude de facteurs d’origine et de portée très différentes. Lire la suite »
La hausse des cours du baril de pétrole donne lieu, pour l’instant, à des prévisions mondiales précautionneuses de la part des grands trésoriers Jean-Claude Trichet et Alan Greenspan, et à de vaines polémiques françaises sur les actions immédiates du gouvernement en faveur de certains secteurs touchés par les prix croissants des carburants. Lire la suite »
Yves Cochet • 31 mar, 2004988 visitesCommentaires fermés
Dans quelques années, la production mondiale de pétrole conventionnel déclinera tandis que la demande mondiale ne cesse de croître. Le choc résultant de cette famine pétrolière structurelle est inévitable, tant sont importantes la dépendance de nos économies au pétrole bon marché et l’impossibilité concomitante de les en sevrer rapidement. Lire la suite »